PRÉSENTATION

L’innovation au service du patrimoine routier !

Un enjeu environnemental :
Le B.A.R s’inscrit dans une approche novatrice de la mise en oeuvre des couches de roulement. Il permet l’association de techniques pouvant réduire jusqu’à 75% les émissions de CO2 en fonction des épaisseurs mises en oeuvre.
Composé de matériaux 100% réutilisable, en fin de vie de la chaussée, le B.A.R s’intègre dans le processus de revalorisation des agrégats d’enrobés.
Le BITUME ARME ROUTIER, un concept incontournable dans une politique de développements durable. 

Qui sommes-nous ?

Au-delà de la notion de patrimoine, le réseau routier est un enjeu majeur de la compétitivité économique d’un pays. Par conséquent, tout doit être mis en œuvre pour apporter aux usagers une qualité de service constante en toutes circonstances. Grâce à ses nouvelles technologies, BITUME ARME ROUTIER répond aux problématiques de chaussées abîmées en préventif mais aussi en curatif.

 Objectif et effets :
La mise en oeuvre d’une nouvelle couche d’enrobé, quelle que soit son épaisseur, ne fait que ralentir la réapparition des fissure. En aucun cas elle ne les stoppe définitivement
Il est généralement admis qu’une fissure « remonte » d’un centimètre par an dans une couche d‘enrobé.


Par ses caractéristiques, en étant positionné entre la couche de base et la couche de surface, le BITUME ARME ROUTIER s’interpose et ralentit la remonté de la fissure en particulier dans des conditions climatique défavorable (temps froid ) il assure la parfaite imperméabilité de la couche de base.
En tant que système d’interposition il va :
1. Diminuer la propagation des fissures
2. Assurer le collage des couches entre elles
3. Protéger la structure de la chaussée contre la pénétration de l’eau
L’interposition d’une couche de BITUME ARME ROUTIER entre la couche de roulement et la couche de base est un progrès considérable dans la lutte contre la remontée des fissures.
Son efficacité est démontrée tant pour les chaussées neuves que pour l’entretien des anciennes couches de roulement.



Avec un peu plus d’1 million de kilomètres de routes et une valeur de reconstruction à neuf estimée à 2000 milliards d’€, les infrastructures routières de notre pays sont un enjeu majeurs de sa compétitivité. Assurant plus de 85% de part modale tant pour des marchandises que des voyageurs, la route doit garantir un niveau de service constant et ce en toutes circonstances. La politique d’entretien du réseau routier doit répondre à une approche globale intégrant non seulement des impératifs techniques mais également économiques et environnementaux. La limitation des ressources financières implique de prendre en compte à la fois les dépenses d’investissement et celles de fonctionnement tout en garantissant durablement leur rentabilité économique.Par conséquent les exploitants et gestionnaires de réseaux routiers doivent privilégier des techniques réellement innovantes qui permettent de réduire et d’optimiser les coûts de maintenance
La perte d’étanchéité d’une chaussée consécutive à la fissuration de sa couche de surface a des conséquences irréversibles sur la pérennité. Ces conséquences peuvent conduire à la ruine complète non seulement de la couche de roulement mais également des couches de liaison et de base.

– Les fissures de fatigue
Ces fissures sont conséquentes au cumul de trafic. Elles affectent toutes les
couches qui composent une chaussée ou unité la couche de roulement.
– Les fissures de retrait (de prise ou thermique)
Elles sont présentes essentiellement dans les matériaux hydrauliques. Leur origine provient du retrait empêché de la couche de base créant ainsi des contraintes supérieures à la résistance à la traction des matériaux.
– Les fissures de vieillissement
Ces fissures sont dues à l’évolution, principalement le vieillissement, des bitumes. Elles sont accentuées par les conditions climatiques.
– Les fissures dues aux mouvements du support
Ces fissures sont dues à la réduction de la portance du sol sur lequel repose la structure de la chaussée. L’origine de ce phénomène peut être un sol mal drainé, un défaut de compactage, un glissement de terrain, etc..
– Les fissures dues aux défauts de construction
Elles résultent d’erreurs de conception et/ou dimensionnement de la chaussée ou de mise en œuvre des matériaux.
La remonté d’une fissure au travers de la couche de roulement est le résultat de mouvement (ouverture, cisaillement, déchirement, …) des lèvres de la fissure qui sont transférés à la base de la couche de surface. 

– Le trafic : les véhicules, et plus particulièrement les essieux de camion, qui passent au droit de la fissure ou à proximité, induisent des mouvements horizontaux et verticaux de la fissure.
– Les variations de température: les changements de température jour/nuit et entre les saisons causent des dilatations et contractions des sections comprises entre deux fissures existantes. Ces mouvements horizontaux alternent entre l’ouverture et la fermeture des fissures.
– Les variations de teneur en eau du sol : La variation de teneur en eau se traduit par un changement de la portance du sol qui se répercute aussitôt sur la fissure. 

Anthony JACQUIER

directeur d’exploitation
07 57 41 24 02
a.jacquier@bitume-arme-routier.com